J'ai remis le nez dans mes photos de vacances et c'est avec bonheur que j'ai retrouvé celles prises à Garraf, mon coup de coeur de cet été pas encore évoqué ici. Je viens donc réparer cette vilaine erreur.
A 25 km au sud de Barcelone, à mi-chemin entre Castelldefels et Sitges, se trouvent Garraf et ses charmantes casetes. J'ai découvert Garraf sur internet complètement par hasard et je suis immédiatement tombée sous le charme de cet endroit. En vacances tout près j'y suis allée passer une journée et mon coup de coeur s'est confirmé.
Au matin du 15 août, je me suis levée de bonne heure pour prendre un train et arriver à Garraf avant les touristes et avant le cagnard. Arrivée vers 9h30, je suis descendue sous une chaleur déjà assommante par l'escalier qui mène directement du quai de la gare à la plage. Et devant moi, 380 mètres de sable fin et de mer bleu azur longés par quelques dizaines de cabanes peintes en blanc et vert anglais construites dans les années 30. Et tout au bout, l'hôtel mint abandonné mais furieusement charmant. Et puis une centaine de photos plus tard, le zumo de naranja au café où les touristes ne sont pas les bienvenus, le ramassage des graines d'agaves, le son de la messe devant la porte de la petite église, l'ébahissement devant les chats croisés, le pique-nique face à la mer, le petit vent qui sauve la vie, la promenade le long de la côte de l'eau jusqu'au genoux, les vagues qui mouillent le short et le bonheur parfait.
A 25 km au sud de Barcelone, à mi-chemin entre Castelldefels et Sitges, se trouvent Garraf et ses charmantes casetes. J'ai découvert Garraf sur internet complètement par hasard et je suis immédiatement tombée sous le charme de cet endroit. En vacances tout près j'y suis allée passer une journée et mon coup de coeur s'est confirmé.
Au matin du 15 août, je me suis levée de bonne heure pour prendre un train et arriver à Garraf avant les touristes et avant le cagnard. Arrivée vers 9h30, je suis descendue sous une chaleur déjà assommante par l'escalier qui mène directement du quai de la gare à la plage. Et devant moi, 380 mètres de sable fin et de mer bleu azur longés par quelques dizaines de cabanes peintes en blanc et vert anglais construites dans les années 30. Et tout au bout, l'hôtel mint abandonné mais furieusement charmant. Et puis une centaine de photos plus tard, le zumo de naranja au café où les touristes ne sont pas les bienvenus, le ramassage des graines d'agaves, le son de la messe devant la porte de la petite église, l'ébahissement devant les chats croisés, le pique-nique face à la mer, le petit vent qui sauve la vie, la promenade le long de la côte de l'eau jusqu'au genoux, les vagues qui mouillent le short et le bonheur parfait.
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